Le jour où les coyotes s'aimerons.

Texas, 18 Juin 1850. Pfff, le désert texan. Jamais vus désert aussi vide. Qu'est-ce qu'on y vois de temps en temps ? Un train parcourant l'horizon, sifflant et crachant sa fumée. ''Le Cheval de fer'', comme l'appel les Indiens. De brave gars ces Indiens. Jamais un mot plus haut que l'autre. Ce qu'ils veulent, c'est avoir un coin pour vivre, et un autre pour chasser, rien de plus. Pas comme ceux qu'ils appelent les blancs. De temps en temps, j'entend un coyote criai au loin son appel. Je presse alors plus le pas, de crainte qu'une de ces meutes ne m'attaque. Mon nom, c'est Franck Jesse. Je suis de ceux que les autres apellent communément, un ''cow-boy''. Sauf que moi, je suis ce que d'autres appellent ''un Solitaire''. Peu importe, je m'en fous. Il est vrai que j'ai pour seul compagnie John, le cheval qui me sert de monture depuis New-York. J'aurais pût prendre le train, mais ça aurait été laissé John là-bas. Et ça, hors de question. Je regardait longement l'horizon, transpirant sous mon chapeau qui me protéger du soleil, un soleil de plomb. Je nageais presque dans mes vêtements. John aussi, était fatigué.
J'comptai plus les jours depuis que j'était dans ce maudit désert. Ni les nuits. Juste les vautours, et les trains qui passaient.

A votre avis, que fait un homme comme moi en plein milieu de ce désert ? Ben, je vais à Santa Marco, une petite bourgade paumée en plein milieu du Texas. On a besoin des mes services là-bas, un petit conflit avec les Indiens est sur le point d'éclater, et on a besoin d'un traducteur. je comprend le langage de certain Indien, car lorsque j'était petit, ils m'on receuilli après que ma caravane ce soit fait attaqué par une bande de maraudeur. Mon père et mon oncle on été tuée, et ma soeur égorgée avec ma mère après qu'elles se soit fait violée. Que d'émotion pour un gosse tel que moi, je devais avoir septs ans. Comment je m'en souviens encore ? Il y a des horreurs que l'on oublis pas. Le fait est que, on avais besoin de moi, et que j'avais répondus présent. Il faudrat qu'ils attendent encore un peu avant de s'entre-tuer là-bas, parce que je suis pas encore arrivé. Je suit les rails du train menant à cette ville depuis New-York, et croyez-moi, c'est pas toujours facile. Heuresement, le sifflet bien singulier de ces appareils pourrait guider un non-voyant.

C'est après m'être endormis un paquet de fois, et avoir suivi je ne sais combien de kilomètres de voie de fer que j'aperçus enfin ma destination, là-bas, ce dessinant petit à petit dans le brouillard de chaleur qui perturbais mon regard. J'arrivas devant une pancarte neuve, et pût lire dessus ces mots tracaient à la craie blanche : Santa Marco.

Auteur : Moi

Premier lecteur de ton embrion de roman et premier critique!!!
Bon sérieusement, c'est un bon début, quoi qu'un peu banal par certain côtés: le cow-boy solitaire qui n'a que son cheval pour seule compagnie, c'est du connu; le héros marqué par un drame dans son enfance l'est juste un peu moins; enfin malgré tous ce que j'ai lu, c'est la première fois que je vois les deux personnages dans le même.
Il y a aussi quelque petits problèmes d'orthographe, sinon c'est prometteur, j'attend la suit avec impatience!!!
N'hésite pas!!!

Haha ! Oui, sans doute, mais là, j'ai pas précisé, c'est pas mon roman, c'est une nouvelle que j'ai posté pour lancer le Magazine ^^
Quant au clihés du cow-boy solitaire, c'était volontaire, car je voulais en effet fusioné les deux types de personnage.

Rah, zut, j' aurais juré que j' avais posté un message...
J' ai déjà vu la première version de ta nouvelle. Elle était presque comme celle-là. Perso, je trouve qu' elle est plutôt bien. J' attends juste la suite avec impatience! ^^

La première version ? Mais, je viens à peine de poster celle-là.

Ah, première participation à cette section, j'étais impatient de lire ça ^^. C'est vrai, dommage qu'il y ait autant de fautes d'accords. Dommage aussi que la plupart des phrases commencent par "je", varier les tournures aurait donné un souffle à ton texte.

Citation :

Mon père et mon oncle on été tuée, et ma soeur égorgée avec ma mère après qu'elles se soit fait violée. Que d'émotion pour un gosse tel que moi, je devais avoir septs ans.

Après, c'est plus subjectif, mais j'ai trouvé que ce passage sonnait bizarrement. Le décalage était peut-être voulu, mais je pense quand même que ça passerait mieux si tu étais franchement plus cru, ou si au contraire tu utilisais quelques euphémismes pour amener en douceur le lecteur à saisir.
Le viol n'est pas la pire des ficelles pour donner le ton dans un texte sombre - mais à mon avis, il faut y ajouter quelque chose pour relever, ou ça ne prend pas du tout.

Sinon, la suite est déjà écrite ? Continue !

Que dire sur Santa Marco ? Une petite bourgade qui ressemble à toutes les autres petites bourgade. Un saloon, une banque, le bureau du shérif, et les maisons. La vie cependant, semble plus présente que dans les autres petites bourgades. De temps en temps, deux gosses qui traversent la rue en courant et riant. Sur le palier d'une masion, un viel homme endormis sur son fauteuil à bascule, chapeau de paille baissé et son chien qui reste fidéle compagnon à côté de lui. Ah si, à l'opposé de l'entrée, une modeste église, au lourdes portes de bois. Le curé à la charge de cette église marchais d'ailleur dans la rue et s'arrété de temps à autres pour passer le bonjours à un croyant. J'était là, en plein milieu de ce semblant d'agitation. Je regardais autour de moi, lorsqu'un fermier m'adressa la parole. Il avait un faible accent du Nord.
"Hôla monsieur le Solitaire ? Qu'est-ce qu'il vous faut ?
- Le bureau du Shérif.
- Vous pouvez pas vous trompez, il est juste là, en face du Saloon. Comprenez, c'est mieu pour surveiller les petites bagarres qui éclatent de temps à autres.
- Merci bien."
Je tire sur les rênes pour emmener John au dit-bureau, et l'attache afin qu'il puisse boire et ce reposer un minimum. Puis, je marches vers la porte et donne trois coups.
"Entrez, entrez !"
La porte s'ouvre en grinçant, et le Shérif m'attend de l'autre côté. Un bon gars ce Shérif. Une forte musculature, une petite moustache brune, un crâne pourvus d'une belle coupe de cheveux en brosse. Il était en train de donner un petit coup de cire à ses bottes lorsque je venais d'entrer. Il regarda rapidement mon visage, puis ce repencha.
"C'est pour quoi ?
- L'emploi d'interlocuteur
- Ah ! L'interprête ! Ca faisait un moment qu'on vous attendais mon gars. Asseyz-vous, asseyez-vous. Prenez une orange si vous soulez, elle nous viennent tout droit d'Espagne.
- Vous réussisez à avoir des oranges d'Espagne ici ?
- Oui, la gare n'est pas loin, et un peu de marchandage ne fais de mal à personne. Me répont-il toujours en cirant ses bottes." Je m'assois donc sur la chaise en face du bureau, et goûte une orange. C'était pas mauvais ma foi. Le Shérif, après avoi administrer un dernier petit coup de brosse, ce lève en empoignant un verre et une bouteille d'alcool brun.
"Alors, qu'est-ce qui vous est arrivez pour arriver tant en retard ? On m'a pourtant dit que vous seriez ici d'iciquatres mois. Ca vas donc faire qautres mois qu'on vous attend.
- Problème de train? J'ai dût partir à pied.
- Quel problème ?
- J'avais pas assez d'argent pour payer.
- Heuresement que les Indiens se sont un peu calmé pendant ce temps là. J'ai eu quelques attaque, mais pas plus. Et des petites attaques, rien de grave.
- C'est quel tribus d'Indien ?
- Les Crows. De brave gars mine de rien, mais des gars génants.
- Très bien.
- Vous m'avez l'air d'être un type de confiance. Je pense que ce métier peut être fait pour vous.
- Vous avez qu'a me testez.
- Nous verrons cela demain. En attendant, allez donc vous reposez. Votre maison est celle juste à côté de la mienne, à droite en sortant.
- Merci bien."
Je me lève et sors par la porte. Je m'approche de John, lui donne mes peaux d'orange, le détache, et lui souffle à l'oreille.
"C'est les affaires qui commencent vieux."

Mouais, le début a bien commencé, et tu arrive à continuer l'histoire sans trop faire retomber l'intérêt, Faut voir la suite si ça ne retombe pas juste après.
Dans ce genre d'histoire une petite baston fait toujours bon effet, juste quelque beignes d'échangées pour mettre un peu d'action!!!
Enfin c'est mon avis, tu fais comme tu veux!!!

Citation :

- Vous m'avez l'air d'être un type de confiance.

Tu parles, ça fait quatre mois qu'ils l'attendent. Quatre mois, putain ! Ce shérif n'est décidément pas rancunier.

Citation :

- Heuresement que les Indiens se sont un peu calmé pendant ce temps là. J'ai eu quelques attaque, mais pas plus. Et des petites attaques, rien de grave.

D'une manière générale, je trouve d'ailleurs cette partie un peu bizarre. Même si les traducteurs ne courent pas les rues, dans l'intervalle, est-ce qu'ils n'auraient pas cherché/trouvé quelqu'un d'autre ? Les cowboys n'étaient pas particulièrement réputés pour leur finesse ; sans traducteur, pourquoi ne pas être passé à la diplomatie du colt ? Si le danger est réellement retombé, le shérif irait-il vraiment dépenser son argent pour engager un homme ?

Citation :

Prenez une orange si vous soulez

Autre chose : personnellement, le far west, je m'imagine ça comme un univers dur, masculin.
... le shérif distribuerait ses oranges, comme ça, à de parfaits inconnus ? A plus forte raison si c'est ça ne court pas les rues ("vous réussisez à avoir des oranges d'Espagne ici ?"), le mec se les garde pour lui, non ?

Citation :

En attendant, allez donc vous reposez. Votre maison est celle juste à côté de la mienne, à droite en sortant.

De même, je bloque sur cette phrase. Pourquoi lui fournir toute une maison ? Lui indiquer la direction de là où il pourra trouver une chambre à louer, ça ne suffit pas ?

Ce qui nous amène en fait à la LA question qui nous brûle les lèvres de tous : d'abord des oranges, puis une maison jouxtant la sienne... dans la Chapitre 3, verra-t-on enfin Franck Jesse céder aux avances du shérif ? Bon sang, réponds-nous, FFMan !

J'adore le coup des oranges. très bon.
C'est LE détail qui tue.
Franchement j'aime ce côté naïf limite dadaiste avec une trame sérieuse et cliché. Continue c'est génial. ^^

Réveillé par le chant du coq. Je hais ces bêtes là. Je sais que dans cette partie là de l'Amérique, on ce lève tôt, mais j'avais perdu l'habitude à force de voyager dans le désert. C'est donc en grognant après ces volatiles de malheur que je me suis levé. Et que dire du réveil ? A peine je suis levé que j'entend dehors le bruit de chevaux paniqué. Je jette un coup d'oeil vite fait à la fenêtre, et v'la que je vois le même viellard qui m'a indiquer le bureau du shérif hier trainé son cheval en tirant avec force sur la bride. La bête ne ce laisse pas faire, et on peut entendre les cris rageurs du vieu nordique. Bah. Je descend au rez-de-chaussée et prend rapidement mes repéres. Ouais, juste de quoi tenir le matin. Je prend donc ce petit déjeuner peu copieu, empoigne mon châpeau, et sort prendre l'air. Une brise du matin fraîche parcourait la rue central. Mine de rien, ça fait du bien. J'ai ensuite décidé d'aller faire un tour au saloon avnt de rejoindre le shérif. Y'avais pas d'alcool dans la maison qu'on ma prêté.

J'ai donc poussé les portes à double battant du bâtiment. Un saloon calme. Sans doute parcequ'on est le matin. Y'avais deux ou trois types à une table, pas plus. Je me dirige vers le patron, qui m'adresse la parole.
"Bien le bonjour monsieur ! Je vous sert quoi ?
- Z'avez un alcool fort ?
- Bien sûr !
- Alors donne moi ce que t'a de plus fort.
- Tout de suite."
Le barman pris une bouteille d'alcool ambré et me remplis un verre avant de me le donner.
"J'vous avait jamais vus dans le coin. Z'êtes nouveau.
- Ouais, j'arrive de New-York.
- Ah ! Vous devez être le fameux intérprête dont m'a parler le shérif !
- Et c'est maintenant que t'arrive !?!"
Un type c'était assis à côté de moi, et semblais ne pas m'apprécier.
"Georges, un verre !
- Tout de suite
- On t'attendais depuis trois mois mon gars ! J'ai du mal à croire que le shérif t'est accepté parmi nous !
- Il a été compréhensif.
- Tu parles ! C'est surtout parcequ'il rempli mal son rôle ! Bon sang, discuter avec les sauvages. Ca tiendrait qu'a moi ça f'rait longtemps que je les aurais abatut et que j't'aurais renvoyé sitôt arrivé !
- Ben heuresement que c'est pas toi le shérif.
- De quoi !?"
Le type ce leva. Les autres types dans la salle ce retournèrent et regardaient. Le type serrai les poings et les dents. Le barman tenta de calmer la mise.
"Eh calme toi ! Faudrait pas que ton frère te vois !
- Je suis très calme !
- Alors ton frère c'est le shérif ?
- C'est pas tes oignons !
- Aucune ressemblance.
- Arrête de me chercher !
- Ah mais c'est toit qu'a commencer en m'interrompant dans ma tranquillité !
- Tu cherches vraiment à perdre tes dents !
- Je serai toi, j'arréterais de provoquer plus vieu que toi petit, il pourrait t'arriver des tuiles."
Je commenca à empoigner doucement mon colt. Le type allait me coller son poing dans l'omoplate, et moi un balle. Là où j'allais avoir mal, lui il pourrait plus utiliser son bras. La tension montait, lorsque qu'une vois qui ne l'est pas inconnus fît irruption.
"Eh ! Qu'est-ce qui ce passe ici !"
C'était le shérif. Derrière lui ce tenait un gosse.
"Ce gosse m'a dit qu'il y avait une tuile entre le nouveau et Lenni !
- T'en mêle pas Jack !
- Oh que si je vais m'en méler !"
Le shérif s'approcha du bar, et je rangeas mon flingue dans son hover. Le Lenni c'était calmé d'un coup.
"Râââh ! C'est pas la peine !"
Il bût d'une traite son verre et sortit du saloon en frappant dans les portes. Je finis mon verre. Ce type allait m'attirer des ennuis.

Pas mal. Je trouve même cela plutôt bien!
Le seul truc, c'est les fautes d' orthographe, de frappe et de grammaire... Sinon, c' est plutôt bien. Continue sur cette voie! ^^

Haha, ah oui, mon plus gros défaut ^^
Ce fléau me suis depuis que je sais tenir un crayon ^^

Pas mal mais j'aurai que deux ou trois beignes ait été écahngées avant l'intervention du shérifs, pour plus d'action!!!

Axe Raider a écrit:

Pas mal mais j'aurai que deux ou trois beignes ait été écahngées avant l'intervention du shérifs, pour plus d'action!!!

Je suis (un peu) d' accord avec toi. Ca aurait mit bien plus d' action! Mais, je ne sais pas ce que FFMan en dira, mais, le but de ce chapitre était de présenter les ennemis du Héros, non? Pas forcément de commencer directement. Et puis, peut-être que, si ça avait tapé, le shérif se serait montré intransigeant et l' aurait viré de la ville?...
M' enfin, comme Axe, j' espère qu' il va bientôt y avoir de l' action, comme dans les vrais Westerns!

Bon, faut dire qu'en ce moment je lis les livres de Serge Brussolo dans lesquels dès qu'il y a un peu de tentions on arrive vite (deux/trois chapitres) à de la baston.
Et quand je dis baston dans ces bouquins là, on devrait plutôt parler des bains de sang.
Les personnage meurt rarement proprement, c'est de la boucherie, du sang sur les murs jusqu'au plafond (ou jusqu'à cinq mètres de haut quand il n'y a pas de plafond), et de la barbaque étalée sur 10m².
Bon j'exagère un peu mais les histoires sont vraiment très barbares.
Si ça intéresse quelqu'un je peu créer un topic avec les titres et les résumés de quelque bouquins.
A vous de voir.